Dédié aux pratiquants, passionnés de sports de nature et aux curieux, le salon des sports de nature aura lieu du vendredi 9 février au dimanche 11 février prochains au parc des expositions de Montpellier, à Pérols. Cet événement est organisé avec le soutien de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, du Département de l’Hérault et de Montpellier Méditerranée Métropole, 3M.
Cette année, près d’une vingtaine de conférences sont programmées : des rencontres avec des personnages hors du commun qui partageront la passion de leur discipline, leurs expériences et les défis qu’ils ont relevés pour se dépasser et affronter dame nature. Ces conférences seront également l’occasion de découvrir les territoires de la région, tel le massif du Caroux, le chemin de Saint-Guilhem, le Canigou, mais aussi de voguer vers des destinations plus lointaines : la Corse, les côtes d’Afrique centrale, les océans.
Des invités de marque
La tribune du salon des sports de nature accueillera tour à tour Kito de Pavant, Antoine Guillon, Denis Clerc et des jeunes sportifs tels que Doris Wetzel, Theo, Romane Tamisier qui a effectué le tour de la Corse en paddle, et bien d’autres intervenants tout aussi captivants.
Parmi les temps forts, à noter l’intervention de Laurent Ballesta qui viendra raconter son ultime expédition, Gombessa IV en juin et juillet derniers afin d’étudier la chasse nocturne des requins dans la passe sud de Fakarava, près de Tahiti. L’excursion a regroupé plus de 30 personnes sur le terrain : cameramans terrestres et sous-marins, plongeurs, scientifiques, équipe de tournage et logisticiens pour percer le secret des chasses en meute des requins qui jusqu’alors semblaient anarchiques… Emerveillement garanti pour le public.
Un film
Le film « Lost in the swell – le Paradis Perdu », lauréat de nombreux prix dont celui du festival What A Trip sera diffusé samedi 10 février à 16h30 : l’aventure africaine est la plus extrême que les surfeurs de Lost In The Swell (Aurélien, Ewen et Ronan) aient vécue. À bord de « fat bikes » en bambou, les jeunes Bretons ont exploré pendant plusieurs semaines la partie la plus sauvage de la côte d’Afrique centrale, avec toujours le même objectif : rechercher des vagues encore jamais surfées et rencontrer les populations locales.