SONDAGE. Chaque jour à Montpellier, comme dans d’autres communes de la région, la vidéo verbalisation sert à sanctionner les automobilistes les plus indélicats.
Avant le 1er janvier 2017, la verbalisation par caméras était possible seulement pour quatre catégories d’infractions routières : le non-respect d’un feu rouge ou d’un stop, le non-respect des vitesses maximales autorisées, le non-respect des distances de sécurité et enfin l’usage de voies réservées (bus, taxis…).
Depuis le 1er janvier dernier, la règlementation a changé, il est possible de relever sept autres catégories d’infractions :
– le défaut du port de la ceinture de sécurité,
– l’usage du téléphone portable tenu en main au volant,
– la circulation, arrêt, et stationnement sur les bandes d’arrêt d’urgence,
– le chevauchement et franchissement des lignes continues,
– le non-respect des règles de dépassement,
– le non-respect des « sas-vélos »,
– le défaut de port du casque à deux-roues motorisé.
Qu’en pensez-vous ?
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